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Conseils médicaux aux voyageurs
Comité d'experts suisse pour la médecine des voyages

 

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Comité d'experts suisse pour la médecine des voyages

 

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Comité d'experts suisse pour la médecine des voyages

Tokelau

Informations générales

  • Bien que l'état d'urgence sanitaire international pour le COVID-19 ait été déclaré terminé le 5 mai 2023, le COVID-19 reste une menace pour la santé
  • Respectez les recommandations et les règlements du pays visité
  • Vérifiez les conditions d'entrée dans le pays de destination: voir la carte des règlements de voyage COVID-19 régulièrement mise à jour par l'IATA: (LIEN)

Vaccinations pour tous les voyageurs

 
Risk Area
Factsheet
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SOP
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Dans tout le pays
 
 
 
 

 
Recommandation
  • La vaccination contre l'hépatite A est recommandée pour tous les voyageurs se rendant dans des pays tropicaux ou subtropicaux.
 

  • L'hépatite A est une infection du foie causée par un virus. Elle est également connue sous le nom de jaunisse.
  • Le virus se transmet facilement par des aliments ou de l'eau contaminés, mais il peut aussi être transmis par contact sexuel.
  • Il existe un vaccin fiable et très efficace qui offre une protection de longue durée.
  • La vaccination contre l'hépatite A est recommandée pour tous les voyageurs qui se rendent dans des pays tropicaux ou subtropicaux, ainsi que pour les groupes à risque.

EKRM_Factsheet_Layperson_FR_Hepatitis-A.pdf

  • L'hépatite A est une infection du foie causée par un virus.
  • Le virus se transmet facilement par des aliments ou de l'eau contaminés, mais il peut aussi être transmis par contact sexuel.
  • Il existe un vaccin fiable et très efficace qui offre une protection de longue durée.
  • La vaccination contre l'hépatite A est recommandée pour tous les voyageurs qui se rendent dans des pays tropicaux ou subtropicaux, ainsi que pour les groupes à risque.
L'hépatite A est causée par un virus très contagieux qui affecte le foie. Elle est également connue sous le nom de jaunisse. L'hépatite A est très fréquente chez les voyageurs non vaccinés.

L'hépatite A est présente dans tous les pays du monde, mais le risque d'infection est plus élevé dans les pays où les normes d'hygiène sont insuffisantes. Il existe un risque élevé dans la plupart des pays tropicaux et subtropicaux, ainsi que dans certains pays d'Europe de l'Est et du bassin méditerranéen.

Ces dernières années, on a également constaté une augmentation des cas en Amérique du Nord et en Europe, y compris en Suisse, notamment chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH). Les épidémies dans les pays d'Europe du Nord peuvent également survenir lorsque des enfants non vaccinés sont infectés lors de visites familiales dans des pays tropicaux et subtropicaux. À leur retour, ils peuvent transmettre le virus dans les établissements de soins.

La transmission se fait principalement par l'eau potable ou les aliments contaminés par des matières fécales. Les autres vecteurs de transmission sont les contacts personnels étroits, en particulier les contacts sexuels (sexe anal-oral) ou une hygiène des mains insuffisante.
Plusieurs semaines après l'infection, des symptômes tels que fièvre, fatigue, nausées, manque d'appétit, gêne abdominale et diarrhée peuvent apparaître. Quelques jours plus tard, la peau et les yeux peuvent devenir jaunes (jaunisse). La plupart des symptômes disparaissent après quelques semaines, mais la fatigue peut souvent durer plusieurs mois. Les jeunes enfants présentent généralement peu ou pas de symptômes, mais chez les personnes âgées, la maladie peut être grave et prolongée.
Aucun traitement spécifique n'est disponible. La guérison d'une infection aiguë par l'hépatite A peut prendre plusieurs semaines ou mois et nécessite du repos physique et un régime alimentaire.

Il existe un vaccin sûr et très efficace qui consiste en deux injections à au moins 6 mois d'intervalle. Il offre une protection à vie après la deuxième dose. Le vaccin contre l'hépatite A peut également être administré en association avec le vaccin contre l'hépatite B (3 doses nécessaires).

La vaccination contre l'hépatite A est recommandée à tous les voyageurs se rendant dans des zones à risque, ainsi qu'aux personnes présentant un risque personnel accru : personnes souffrant d'une maladie chronique du foie, hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, personnes consommant ou s'injectant des drogues, personnes ayant des contacts professionnels accrus avec des personnes provenant de zones ou de populations à haut risque, etc.

  • Office fédéral de la santé publique (OFSP). Hépatite A. https://www.bag.admin.ch/bag/fr/home/krankheiten/krankheiten-im-ueberblick/hepatitis-a.html 
  • Hépatite Suisse: https://fr.hepatitis-schweiz.ch/tout-sur-hepatite/hepatite-a 
Voir carte
  
 
 
 
 

 
Recommandation
Tous les voyageurs devraient être à jour avec la vaccination de base selon le plan de vaccination suisse, LIEN.
 

 
Condition d’entrée du pays
Autres conditions d'entrée dans le pays: Il est recommandé aux passagers en provenance d'Afghanistan ou du Pakistan d'être en possession d'un certificat international de vaccination prouvant que le passager a été vacciné contre la polio de préférence de plus de 4 semaines et pas plus d'un an avant le voyage.
 

Autres conditions d'entrée dans le pays: Il est recommandé aux passagers en provenance d'Afghanistan ou du Pakistan d'être en possession d'un certificat international de vaccination prouvant que le passager a été vacciné contre la polio de préférence de plus de 4 semaines et pas plus d'un an avant le voyage.
Mondiale
  
 
 
 
 

 
Recommandation

Tous les voyageurs devraient être à jour avec la vaccination de base et les rappels selon le plan de vaccination suisse, LIEN.

 

Mondiale
  
 
 
 
 

 
Recommandation

Tous les voyageurs devraient être à jour avec la vaccination de base et les rappels selon le plan de vaccination suisse, LIEN.

 

Mondiale
  
 
 
 
 

 
Recommandation

Les voyageurs doivent être immunisés contre la varicelle. Les personnes âgées de 13 mois à 39 ans qui n'ont pas encore eu la varicelle et qui n'ont pas reçu 2 doses de vaccin contre la varicelle devraient recevoir une vaccination (2 doses avec un intervalle minimum de 4 semaines), vois plan de vaccination suisse, LIEN.

 

Vaccinations pour certains voyageurs

 
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Mondiale
  
 
 
 
  • L'hépatite B est une infection virale du foie qui se transmet par du sang contaminé ou par contact sexuel.
  • Il existe un vaccin sûr et très efficace qui offre une protection à vie.
  • La vaccination contre l'hépatite B est recommandée pour tous les jeunes et les voyageurs à risque, en particulier si :
    • Vous voyagez régulièrement ou passez de longues périodes à l'étranger.
    • Il existe un risque de rapports sexuels non protégés.
    • Vous êtes susceptible de subir un traitement médical ou dentaire à l'étranger, ou d'entreprendre des activités qui peuvent vous exposer au risque de contracter l'hépatite B (tatouages, piercing, acupuncture dans des conditions non sécurisées).
Under construction
Dans tout le pays
 
 
 
  • La fièvre typhoïde est une maladie grave causée par une bactérie et transmise par des aliments ou de l'eau contaminés.
  • Le risque est très faible pour les voyageurs qui ont accès à des aliments et des boissons sains.
  • La meilleure protection contre la fièvre typhoïde consiste à respecter une hygiène de base optimale.
  • Il existe un vaccin contre la typhoïde qui est recommandé si
    • séjour dans des conditions d'hygiène insuffisantes (par exemple, en voyageant dans des zones rurales)
    • séjour de courte durée (>1 semaine) dans un pays à haut risque (ou hyper-endémiques: voir page pays)
    • séjour de longue durée (> 4 semaines) dans un pays endémique
    • Présence d'un facteur de risque individuel ou d'un problème de santé préexistant. Dans ce cas, veuillez en parler à votre médecin.

EKRM_Factsheet_Layperson_FR_Typhoid-fever.pdf

  • La fièvre typhoïde, également appelée fièvre entérique, est causée par les bactéries Salmonella Typhi et Salmonella Paratyphi.
  • Les bactéries sont relâchées dans les selles des personnes infectées. Dans les pays où les normes d’hygiène sont précaires, la bactérie peut ensuite pénétrer dans le réseau d’eau potable et provoquer des infections chez d’autres personnes.
  • La maladie se propage par l’ingestion d’aliments et de boissons contaminés.
  • La principale mesure préventive peut se résumer par la formule « Cuisez, épluchez, faites bouillir ou laissez tomber ». Autrement dit : évitez de boire de l’eau non bouillie ou provenant de bouteilles non scellées ; évitez les produits refroidis/congelés (p.ex. les glaçons ou les crèmes glacées), sauf s’ils proviennent d’une source sûre ; évitez les légumes non cuits, épluchez et nettoyez vous-même les fruits et les légumes avec de l’eau potable sûre uniquement.
  • Un vaccin est disponible et recommandé : a) pour les voyageurs se rendant dans le sous-continent indien ou en Afrique de l’Ouest, b) pour les voyageurs rendant visite à des amis ou de la famille, ou pour les voyageurs de longue durée se rendant dans d’autres zones tropicales ou subtropicales.
La fièvre typhoïde est une maladie bactérienne qui touche l’ensemble du corps et se manifeste principalement par une forte fièvre, souvent accompagnée de somnolence (tuphos en grec signifie « torpeur ») et de maux de tête intenses. Si l’infection est traitée par des antibiotiques adaptés, la mortalité est très faible. En l’absence de traitement par contre, la maladie entraîne des complications pouvant mener à une mortalité importante. La fièvre typhoïde ne doit pas être confondue avec la salmonellose intestinale, une maladie causée par d’autres espèces de salmonelles qui provoquent principalement des symptômes diarrhéiques bénins dans le monde entier.
La fièvre typhoïde est surtout présente sur le sous-continent indien (Afghanistan, Pakistan, Népal, Bhoutan, Inde et Bangladesh). Cette région connaît aussi une augmentation croissante de la résistance aux antibiotiques. La maladie est aussi présente dans toute la région subtropicale, mais à une moindre fréquence. Autrefois, elle était présente en Europe et en Amérique du Nord, mais la maladie a disparu grâce à l’amélioration de la qualité de l’eau et des normes sanitaires.
La fièvre typhoïde se transmet par voie fécale-orale : les bactéries sont relâchées dans les selles des personnes infectées et si l’hygiène des mains est insuffisante, les personnes infectées peuvent contaminer les aliments et l’eau potable de leur famille. Dans les régions où les normes d’assainissement sont précaires, les matières fécales contaminées peuvent également contaminer l’approvisionnement public en eau potable.
La période d’incubation, autrement dit l’intervalle de temps entre l’infection et la survenue des premiers symptômes, peut varier entre 3 jours et 3 semaines. Le symptôme principal de la fièvre typhoïde est une fièvre élevée (entre 39 et 41 °C) accompagnée de maux de tête intenses et de somnolence. Dans la phase initiale de la maladie, les patients se plaignent souvent de constipation. À un stade plus avancé, des diarrhées peuvent apparaître. Aux stades ultérieurs et en l’absence d’un traitement adéquat, la maladie peut se compliquer en septicémie, ou en hémorragie ou perforation intestinale, entraînant de fait une mortalité importante.
La fièvre typhoïde se guérit grâce à un traitement antibiotique adapté en fonction du profil de résistance de la bactérie. Sur le sous-continent indien, certaines souches peuvent être multirésistantes, nécessitant un traitement antibiotique intraveineux à large spectre. En cas de fièvre typhoïde grave avec baisse du degré de conscience (délire) ou coma, il peut être nécessaire de compléter le traitement avec des corticoïdes.

« Cuisez, épluchez, faites bouillir ou laissez tomber » : ce simple slogan suffirait presque à prévenir la fièvre typhoïde. Mais rares sont les voyageurs qui respectent ce conseil à la lettre. Toutefois, on n’insistera jamais assez sur l’importance de l’hygiène des aliments et de l’eau : évitez d’acheter des bouteilles d’eau non scellées, évitez de boire de l’eau du robinet provenant de sources inconnues, évitez de manger des aliments refroidis ou congelés (c.-à-d. des glaçons ou de la crème glacée) et évitez de manger des fruits et légumes crus que vous n’avez pas épluchés et lavés vous-même avec de l’eau potable sûre.

Deux types de vaccins sont disponibles :

  • Un vaccin oral (vivant) composé de trois capsules à prendre un jour sur deux à jeun. Ces capsules doivent être réfrigérées avant d’être utilisées. Ce vaccin offre une protection d’environ 70 % qui commence 10 jours après la prise de la troisième et dernière capsule. Au bout d’un an ou trois ans, le vaccin doit être pris à nouveau avant un nouveau voyage dans une zone à risque. Ce vaccin ne peut être administré aux patients atteints d’une maladie gastro-intestinale chronique grave (telle que la maladie de Crohn ou la colite ulcéreuse) ou qui présentent une baisse sévère de l’immunité.
  • Le vaccin à dose unique est un vaccin inactivé injecté par voie intramusculaire. La protection atteint également 70 % environ et commence 14 jours après l’injection. Ce vaccin peut être administré aux patients chez qui le vaccin oral n’est pas recommandé. Il n’est pas enregistré en Suisse, mais la plupart des médecins spécialisés en médecine tropicale et médecine des voyages, ainsi que tous les centres spécialisés en médecine des voyages, ont le vaccin en stock. La durée de la protection est d’environ trois ans.
La vaccination contre la fièvre typhoïde est conseillée pour les voyages de longue durée et aux voyageurs qui se rendent dans des régions où le risque de transmission est particulièrement élevé et/ou la maladie est plus difficile à traiter en raison d’une forte résistance aux antibiotiques.
Office fédéral de la santé publique (Suisse) : https://www.bag.admin.ch/bag/fr/home/krankheiten/krankheiten-im-ueberblick/typhus-abdominalis-paratyphus.html 
Mondiale
  
 
 
 

 
Recommandation

Recommandation de vaccination selon l'Office fédéral de la santé publique (OFSP), voir LIEN.

Condition d'entrée pour certains pays, voir LIEN IATA.

 

  • Le Covid-19 est une maladie qui touche l'ensemble du corps, mais qui se manifeste principalement par des symptômes respiratoires tels que la toux et des difficultés à respirer. Elle est causée par le virus SRAS-CoV-2.
  • L'infection se propage principalement par des gouttelettes respiratoires et éventuellement des aérosols lorsque les personnes infectées toussent, éternuent, parlent ou chantent sans porter de masque.
  • L'infection peut être prévenue très efficacement par la vaccination et un nombre croissant de vaccins sont désormais approuvés et disponibles pour la protection.
  • La vaccination est recommandée selon les recommandations suisses de l'Office fédéral de la santé publique (OFSP), voir LIEN.
  • En outre, la prévention repose en grande partie sur le port de masques, l'hygiène des mains et la distance physique (au moins 1.5 m) si les masques ne sont pas portés et si les personnes ne sont pas vaccinées.
Pour plus d'informations, voir le LIEN de l'Office fédéral de la santé publique (OFSP)
Dans tout le pays
  
 
 
 
  • La grippe est courante dans le monde entier, y compris dans les pays subtropicaux et tropicaux.
  • La vaccination offre la meilleure protection. 
  • La vaccination contre la grippe est recommandée pour tous les voyageurs appartenant à un groupe "à risque", comme les femmes enceintes, les voyageurs souffrant de maladies concomitantes, les personnes âgées (>65 ans), ou pour certains voyages à risque particulier (ex: croisière, pèlerinage).
  • Le vaccin contre la grippe n'offre pas de protection contre la grippe aviaire.
Under construction

Autres risques pour la santé

 
Risk Area
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  • La dengue est une maladie virale transmise par des piqûres de moustiques actifs en journée.
  • À titre de prévention, il faut se protéger des piqûres de moustiques, voir le LIEN!
  • Il existe un vaccin (Qdenga®) contre la dengue.
    • Toutefois, sur la base des données disponibles, la Comité d'experts suisse pour la médecine des voyages (CEMV) ne recommande actuellement la vaccination avec Qdenga® qu'aux voyageurs ayant déjà été infectés par la dengue par la passé et séjournant dans des régions où la transmission de dengue est élevée, pour plus de détails, voir le LIEN.

 

  • En cas de fièvre: n’utilisez pas d’acide contenant de l'acide acétylsalicylique (p.ex. Aspirine®, Alcacyl®, Aspégic®), car ils augmentent le risque d’hémorragie en cas de dengue.
  • Lisez les informations suivantes afin de bien vous préparer pour votre voyage.

EKRM_Factsheet_Layperson_FR_Dengue.pdf

EKRM_Factsheet_Layperson_FR_Mosquito-and-tick-bite-protection.pdf

ECTM_Dengue vaccines_statement_EN_20240712.pdf

CDC Carte: Distribution de la dengue

  • La dengue est la maladie infectieuse transmise par les insectes la plus répandue au monde.
  • Il faut se protéger des piqûres de moustiques pendant la journée !
  • Cette maladie peut provoquer une forte fièvre, des douleurs musculaires et articulaires, des éruptions cutanées et dans de rares cas, des saignements. Il n’existe aucun traitement spécifique. La vaccination n'est recommandée que pour les personnes ayant une preuve d'une infection antérieure de dengue.
  • Pour votre santé, nous vous recommandons fortement de vous informer en détail sur la dengue.
La dengue est la maladie infectieuse transmise par les insectes la plus répandue au monde. Il existe quatre sérotypes identifiés du virus de la dengue ; il est ainsi possible d’être infecté par le virus plus d’une fois. Environ une personne infectée sur quatre développe des symptômes de la dengue : forte fièvre, douleurs musculaires et articulaires, et éruption cutanée. Dans de rares cas, le plus souvent lors d’une deuxième infection, la dengue peut s’avérer mortelle par la survenue d’un état de choc (chute de la pression artérielle) et de complications hémorragiques.
La dengue est présente dans toutes les régions tropicales et subtropicales situées entre les latitudes 35°N et 35°S (voir la carte du CDC : https://www.cdc.gov/dengue/areaswithrisk/around-the-world.html).
Le virus de la dengue se transmet principalement par des piqûres de moustiques actifs le jour et au crépuscule, à savoir les Aedes aegypti et les Aedes albopictus. Ces moustiques se reproduisent dans de petites flaques d’eau situées à proximité d’immeubles d’habitation ou de zones industrielles/décharges. La saison des pluies est la saison de transmission principale.

Dans trois cas sur quatre, l’infection reste asymptomatique. Après une courte période d’incubation, généralement entre cinq et huit jours, une personne infectée sur quatre présente une fièvre d’apparition brutale, des maux de tête, des douleurs musculaires et articulaires, ainsi que de la nausée et des vomissements. Une douleur oculaire est aussi un symptôme caractéristique. Une éruption cutanée survient généralement au troisième ou quatrième jour de la maladie. Au bout de quatre ou sept jours, la fièvre finit par tomber, mais de la fatigue peut persister pendant plusieurs jours ou semaines.

Dans de rares cas, la maladie peut se compliquer en dengue sévère. Les enfants et les personnes âgées autochtones, ainsi que les personnes ayant déjà été infectées par la dengue, sont particulièrement vulnérables. Il est extrêmement rare que des touristes présentent une dengue sévère. Les premiers jours, la maladie suit l’évolution de la dengue classique, mais à partir du quatrième ou cinquième jour, généralement une fois la fièvre tombée, l’état général s’aggrave: chute de la pression artérielle, essoufflement, gêne abdominale, saignements de nez, de la peau ou des muqueuses. Dans les cas les plus graves, un état de choc potentiellement mortel peut survenir.

Il n’existe aucun traitement spécifique contre la dengue. La prise en charge se contente d’atténuer et surveiller les symptômes : baisser la fièvre, soulager les douleurs oculaires, dorsales, musculaires et articulaires, et surveiller la coagulation et la tension artérielle. Les patients présentant des symptômes graves doivent être hospitalisés.

Pour faire baisser la fièvre ou soulager la douleur, il est recommandé d’administrer des médicaments contenant du paracétamol ou de l’acétaminophène comme principe actif (p.ex. Acetalgin® Dafalgan®). Les médicaments composés d’acide acétylsalicylique (p.ex. Aspirine®, Alcacyl®, Aspégic®) sont à éviter.

Une protection efficace contre les moustiques pendant la journée et surtout au crépuscule (au coucher du soleil) est la meilleure mesure de prévention:

  1. Habillement: Portez des habits couvrants, manches longues et pantalons, et imprégnez vos vêtements au préalable avec un insecticide contenant de la perméthrine (voir la fiche d’informations « prévenir les piqûres d’arthropodes »)
  2. Antimoustiques: Appliquez un antimoustique sur les zones non couvertes du corps plusieurs fois par jour (voir la fiche d’informations « prévenir les piqûres d’arthropodes »)
  3. Environnement: Veillez à ne pas laisser d’eau stagnante dans les récipients (dessous de pots de fleur, etc.), car ce sont des sites de reproduction pour les moustiques.

Pour de plus amples informations, veuillez consulter la fiche d'information sur la "Protection contre les piqûres d'insectes et de tiques".

Note sur les vaccins contre la dengue Qdenga:

Sur la base des données disponibles, de nombreux pays européens, ainsi que le Comité suisse d'experts en médecine des voyages (CEMV), ne recommandent actuellement la vaccination avec Qdenga® que pour les personnes qui ont une preuve d'une infection antérieure de dengue et qui voyagent dans une région où la transmission de la dengue est importante. Il s'agit d'une décision de précaution, car les données actuelles n’excluent pas la possibilité que les personnes vaccinées avec Qdenga® sans avoir eu au préalable infection de  dengue (avec le sérotype 3 ou 4) puissent connaître une évolution plus sévère de la maladie lorsqu’ils seront exposés après la vaccination. Il est donc recommandé de consulter un spécialiste en médecine tropicale et en médecine des voyages.

Une protection constante contre les moustiques pendant la journée (voir ci-dessus) reste la mesure préventive la plus importante contre la dengue!

  • En cas de symptômes, ne prenez aucun produit contenant de l’acide acétylsalicylique comme principe actif (p.ex. Aspirine®, Alcacyl®, Aspégic®), car ils augmentent le risque d’hémorragie en cas de dengue!
  • Cependant, n'arrêtez pas de prendre des médicaments contenant de l'acide acétylsalicylique s'ils font déjà partie de votre traitement habituel pour une affection sous-jacente.
Carte du CDC : https://www.cdc.gov/dengue/areaswithrisk/around-the-world.html 
Dans tout le pays
 
 
  • Le chikungunya est une maladie virale transmise par des piqûres de moustiques actifs en journée.
  • À titre de prévention, il faut se protéger des piqûres de moustiques.
  • Il n’existe ni vaccin ni médicament contre le chikungunya pour les voyageurs.
  • En cas de fièvre : n’utilisez pas d’acide acétylsalicylique (p.ex. Aspirine®, Alcacyl®, Aspégic®), car ils augmentent le risque d’hémorragie en cas de dengue.
  • Lisez les informations suivantes afin de bien vous préparer pour votre voyage.

EKRM_Factsheet_Layperson_FR_Chikungunya.pdf

EKRM_Factsheet_Layperson_FR_Mosquito-and-tick-bite-protection.pdf

CDC Carte: Distribution de la Chikungunya
  • Le chikungunya est une maladie virale transmise par la piqûre de moustiques du genre Aedes.
  • Le chikungunya peut être prévenu en se protégeant des piqûres de moustiques.
  • Habituellement, la maladie se manifeste par d’intenses douleurs articulaires dans les mains et les pieds, lesquelles peuvent persister pendant des semaines ou des mois chez certains patients.
Le chikungunya est provoqué par le virus du chikungunya, décrit pour la première fois en Tanzanie en 1952. Le nom de « chikungunya » proviendrait d’un terme africain signifiant « se courber », en référence à l’apparence voûtée des malades atteints de douleurs articulaires et devant se déplacer avec une canne.
Le sous-continent indien, l’Asie du Sud-Est, les îles du Pacifique, l’Amérique centrale, l’Amérique du Sud, les îles des Caraïbes, l’Afrique subsaharienne et la péninsule arabique. En Europe, la majorité des cas sont importés de pays endémiques. Toutefois, des transmissions locales ont été observées en France et en Italie en 2007, 2014 et 2017.
Le virus du chikungunya se transmet à l’humain par la piqûre de moustiques du genre Aedes, principalement actifs en journée.

L’infection par le virus du chikungunya se caractérise par une forte fièvre d’apparition brutale accompagnée de frissons et de douleurs articulaires. Parmi les autres symptômes possibles figurent des maux de tête, des douleurs musculaires, une rougeur des yeux et une éruption cutanée qui survient généralement après l’apparition de la fièvre. Habituellement localisée sur le tronc et les extrémités, l’éruption cutanée peut également toucher les paumes des mains, la plante des pieds et le visage.

Souvent, l’apparition de la fièvre se fait en deux phases d’une durée maximale d’une semaine, entrecoupées d’un ou deux jours sans fièvre. La deuxième phase peut se manifester par des douleurs musculaires et articulaires beaucoup plus intenses pouvant être sévères et invalidantes.  Ces symptômes sont généralement bilatéraux et symétriques et touchent principalement les mains et les pieds, mais peuvent également concerner de plus grosses articulations, telles que les genoux ou les épaules.

Environ 5 à 10 % des personnes infectées continuent de ressentir de fortes douleurs articulaires même après la disparition de la fièvre, dans certains cas pendant plusieurs mois, voire plus rarement pendant des années.

Le diagnostic est confirmé par analyse sanguine. Un test PCR jusqu’à sept jours après le début des symptômes ou une sérologie (détection des anticorps) à partir de la deuxième semaine de la maladie.
Il n’existe aucun traitement contre le virus. Le seul traitement est symptomatique et vise à atténuer les douleurs articulaires par la prise d’anti-inflammatoires.
  • Éviter les piqûres de moustiques en journée (lorsque les moustiques Aedes sont actifs) à l’aide d’anti-moustiques (répulsifs) sur les zones du corps non couvertes
  • Porter des vêtements longs (couvrant)
  • Imprégner les vêtements avec un insecticide
  • Environnement: éliminer toute eau stagnante dans les récipients situés à proximité immédiate des habitations afin de prévenir l’apparition de sites de reproduction pour les moustiques
  • Pour des informations plus détaillées, consulter la fiche d’information « protection contre les piqûres d’insectes et de tiques »
  • FOPH Suisse: https://www.bag.admin.ch/bag/de/home/krankheiten/krankheiten-im-ueberblick/chikungunya.html
  • WHO - Chikungunya fiche d’informations: https://www.who.int/news-room/fact-sheets/detail/chikungunya
  • Center for Disease Control and Prevention (CDC): https://www.cdc.gov/chikungunya/index.html
Dans tout le pays
 
 
  • La maladie à virus Zika est une maladie virale transmise par des piqûres de moustiques actifs en journée.
  • L'infection à virus Zika pendant la grossesse (quel que soit le trimestre) peut provoquer une malformation du fœtus.
  • Dans les régions où existe un risque accru de transmission (épidémie), des recommandations spécifiques doivent être données aux femmes enceintes ou à celles qui prévoient une grossesse.
  • Si vous ou votre partenaire êtes enceinte ou si vous envisagez une grossesse, il est vivement recommandé de vous informer en détail sur la maladie à virus Zika.

EKRM_Factsheet_Layperson_FR_Zika.pdf

EKRM_Factsheet_Layperson_FR_Mosquito-and-tick-bite-protection.pdf

CDC Carte: Distribution du virus Zika
  • Cette fiche d'informations contient des informations importantes sur la maladie à virus Zika et les mesures de prévention.
  • Si vous ou votre partenaire êtes enceinte ou si vous envisagez une grossesse, il est vivement recommandé de vous informer en détail sur la maladie à virus Zika.
  • La maladie à virus Zika est une maladie virale transmise par des piqûres de moustiques actifs en journée.
  • L'infection par le virus Zika pendant la grossesse (quel que soit le trimestre) peut provoquer une malformation du fœtus.
  • Dans les régions où existe un risque accru de transmission (épidémie), des recommandations spécifiques doivent être données aux femmes enceintes ou à celles qui prévoient une grossesse.
La maladie à virus Zika est une maladie virale transmise par des piqûres de moustiques actifs en journée. Environ une personne sur cinq développe des symptômes tels que de la fièvre, une éruption cutanée, une conjonctivite, des douleurs articulaires et musculaires et parfois, des maux de tête. En général, la maladie est bénigne et guérit spontanément, mais dans de rares cas, des complications immunologiques et neurologiques surviennent. Une infection en cours de grossesse peut entraîner de graves conséquences pour le fœtus. Il est déconseillé aux femmes enceintes de se rendre dans les régions à risque (en cours d’épidémie).

Le virus Zika a été identifié en 1947 chez des singes de la forêt Zika en Ouganda. La circulation du virus est longtemps restée limitée à l’Afrique et à l’Asie du Sud-Est avec quelques cas par an. En mai 2015, le continent américain a été touché pour la première fois, avec une épidémie au Brésil qui s'est rapidement propagée en Amérique du Sud, en Amérique centrale et dans les Caraïbes. Depuis, la maladie est observée dans la plupart des régions tropicales et subtropicales.

Le risque de contagion est actuellement faible dans la plupart des régions et ne nécessite pas de mesures particulières. Cependant, des épidémies réapparaissent sporadiquement. Le risque de transmission étant élevé pendant les épidémies, des recommandations spécifiques pour les voyageurs sont nécessaires.

Le virus Zika se transmet par des piqûres de moustiques infectés (du genre Aedes aegypti, dont le moustique tigre), actifs en journée, principalement à l'aube et quelques heures avant le coucher du soleil. La présence de ces moustiques est fréquente dans les villes des régions tropicales et subtropicales. La transmission interhumaine peut se produire lors d’une grossesse (d’une mère au fœtus), de rapports sexuels non protégés avec une personne infectée (avec ou sans symptômes) ou encore, lors d'une transfusion sanguine.
Environ 80 % des personnes infectées ne présentent aucun symptôme. Les signes cliniques se manifestent dans les deux semaines suivant la piqûre d'un moustique infecté et sont généralement bénins : fièvre modérée, éruption cutanée souvent accompagnée de démangeaisons, conjonctivite, douleurs articulaires, maux de tête, douleurs musculaires et troubles digestifs. En général, le patient guérit spontanément en 5 ou 7 jours. Les complications neurologiques, comme le syndrome de Guillain-Barré, et immunologiques sont rares. L'infection à virus Zika au cours d’une grossesse (quel que soit le trimestre) peut provoquer une malformation du fœtus.

En cas de fièvre, il est recommandé de consulter un médecin sur place. Les symptômes d'une infection à virus Zika peuvent ressembler à ceux de la dengue ou du paludisme, pour lequel un traitement d’urgence est nécessaire. Le traitement vise à faire baisser la fièvre et à soulager les douleurs articulaires (paracétamol). Évitez l'aspirine et les anti-inflammatoires (p. ex. l'ibuprofène) tant que la dengue n'est pas exclue. Il n'existe aucun vaccin.

En cas de grossesse et de fièvre pendant ou au retour d'une région où le virus Zika est endémique, il est recommandé de réaliser des analyses sanguines ou urinaires. En cas d'infection confirmée, la prise en charge médicale doit être discutée avec le gynécologue et le spécialiste en médecine des voyages. 

Une protection efficace contre les piqûres de moustiques pendant la journée et en début de soirée (vêtements longs, produits anti-moustiques, moustiquaire).

Lors d'un voyage dans une région à risque (épidémie déclarée) et afin de prévenir une éventuelle transmission sexuelle du virus, il est recommandé d'utiliser un préservatif masculin ou féminin pendant le voyage et jusqu’à deux mois suivant le retour.

En raison du risque de malformation fœtale, il est déconseillé aux femmes enceintes de voyager dans des régions à risque (déclarées comme épidémiques), à tout stade de la grossesse. En cas de voyage indispensable, il est conseillé de consulter un spécialiste de la médecine des voyages avant le départ. Il est recommandé aux femmes souhaitant tomber enceintes d’attendre au moins deux mois après leur retour (ou celui de leur partenaire) d'une région endémique.

  • L'infection à virus Zika pendant la grossesse (quel que soit le trimestre) peut provoquer une malformation du fœtus.
  • Pour les informations les plus récentes sur la distribution ou les épidémies du virus Zika, consulter les informations voyages et Zika du CDC: https://wwwnc.cdc.gov/travel/page/zika-information 
Swiss TPH : https://www.swisstph.ch/en/travelclinic/zika-info/ 
 
 
  • Le Mpox est une maladie virale qui provoque généralement une éruption cutanée, un gonflement des ganglions lymphatiques et de la fièvre.
  • Une variante émergente se propage rapidement dans l'est de la République démocratique du Congo et dans les pays voisins, ce qui a provoqué une nouvelle déclaration d'urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC) de l'OMS en août 2024.
  • Le contact physique étroit (sexuel ou non) est le principal mode de transmission.
  • La maladie évolue généralement de manière bénigne. Les enfants, les femmes enceintes et les personnes dont le système immunitaire est affaibli risquent le plus de souffrir de complications.
  • Veillez à prendre les précautions générales (voir factsheet) pour prévenir la maladie.
  • La vaccination contre le mpox est possible, mais elle est actuellement limitée aux groupes à haut risque d'exposition.

EKRM_Factsheet_Layperson_MPOX.pdf

CDC Carte: 2022 Monkeypox Outbreak Global Map
  • Mpox is a viral disease that typically causes a rash, swollen lymph nodes and fever.
  • An emerging variant is spreading rapidly in eastern D.R. Congo and neighboring countries prompting a new WHO declaration of a public health emergency of international concern (PHEIC), as of August 14th 2024.
  • Close physical contact (sexual or non-sexual) is the main mode of transmission.
  • The disease generally follows a mild course. Children, pregnant women, and people with weak immune systems are the most at risk of complications.
  • Vaccination against mpox is available, but limited to groups at high risk of exposure. 
Mpox (formerly monkeypox) is a disease caused by the Monkeypox virus, a virus from the same family as the virus that causes smallpox. It is a viral zoonotic disease, which means it can spread from animals to humans. It can also spread between people.

Mpox has been commonly found in West and Central Africa for many years where the suspected reservoir - small mammals - is endemic. There are two types of Monkeypox virus called ‘clades’ that cause the disease mpox - clade I in Central Africa and clade II in West Africa. Since the end of smallpox vaccination campaigns in the early 1980’s, cases of mpox have increased, slowly at first and significantly in the last 5-10 years, especially in the Democratic Republic of Congo (DRC).

 

In 2022, a new emerging subclade of clade II was responsible for a global epidemic that spread mainly through sexual contact among men who have sex with men. It resulted in the first public health emergency of international concern (PHEIC) declared by the WHO until 2023. Although the clade II epidemic is now under control, it continues to circulate worldwide.


In 2024, the continued spread of mpox clade I in endemic regions of Central Africa, particularly in the DRC, and the emergence of a new subclade Ib in Eastern DRC and neighboring countries have raised global concern and prompted the WHO to declare a PHEIC for the second time in two years. The current geographical spread of the mpox clade Ib variant occurs via commercial routes through sexual contact (e.g. sex workers), followed by local transmission in households and other settings (which is becoming increasingly important).

Animal to human transmission
Mpox can spread from animal to human when they come into direct contact with an infected animal (rodents or primates).

 

Human to human transmission
Mpox can be spread from person to person through close physical contact (sexual and non-sexual contact) with someone who has symptoms of mpox. Skin and mucous membrane lesions, body fluids, and scabs are particularly infectious. A person can also become infected by touching or handling clothing, bedding, towels, or objects such as eating utensils/dishes that have been contaminated by contact with a person with symptoms. Household members, family caretakers, and sexual partners of a confirmed case of mpox are at higher risk for infection as are health care workers who treat a case without adequate personal protection.

The incubation period (time between infection and onset of symptoms) ranges from a few days up to 3 weeks. Mpox causes a rash / skin eruption that can be painful associated with swollen lymph nodes and fever. Fever may start already before the rash phase. Other symptoms include muscle aches, back pain, and fatigue. The rash may be localized or generalized, with few or hundreds of skin lesions. It mainly affects the face, the trunk and the palms of hand and soles of the feet. It can also be present in genital areas and on mucous membranes such as in the mouth and throat. Symptoms usually last 2 to 4 weeks and the person remains contagious until all lesions have healed (once the cabs have fallen off).

Complications include secondary bacterial infections, infections of the lung and brain and involvement of other organs, still birth and others. Children, pregnant women, and people with weak immune systems are at higher risk to develop a severe form of mpox.

The majority of person with mpox recovers spontaneously and do not need specific antiviral treatment. Care management consists of relieving pain and other symptoms and preventing complications (e.g., superinfection). Several antiviral treatments are studied in various countries and may be used in trials or in clinical situations according to the recommendations of national medical societies.

 

In case of symptoms: 

  • Seek medical attention immediately
  • If you are diagnosed with mpox
    • Please stay at home (isolate yourself) until your mpox rash has healed and a new layer of skin has formed. Staying away from other people and not sharing things you have touched with others will help prevent the spread of mpox. People with mpox should regularly clean and disinfect the spaces they use to limit household contamination.
    • Wash your hands often with soap and water or an alcohol-based hand sanitiser containing at least 60% alcohol.
    • You should not have sex while symptomatic and while you have lesions or symptoms. Use condoms for 12 weeks after infection. This is a precaution to reduce the risk of spreading the virus to a partner.
    • For more information on what do if you are sick, see CDC LINK.

General precautions:

  • Worldwide:
    • avoid close, skin-to-skin contact with people who have or may have mpox or people who have a rash (e.g., pimples, blisters, scabs).
    • Wash your hands often with soap and water or an alcohol-based hand sanitiser containing at least 60% alcohol.
    • Avoid touching potentially contaminated personal items such as cups, bedding/clothing, towels or sharing eating utensils/cups, food or drink with a person who has, or may have mpox.
    • Avoid sex with sick persons; use of condoms for up to 12 weeks if you sexual partner have had mpox.
    • Follow advice of local authorities.
  • When travelling to endemic / epidemic areas in Africa, in addition to above mentioned general precautions: 
    • Avoid contact with and animals in areas where mpox regularly occurs.
    • Avoid eating or preparing meat from wild animals (bushmeat) or using products (creams, lotions, powders) derived from wild animals.

Vaccination:

There are several vaccines against mpox (e.g. Jynneos®, manufacture Bavarian Nordic). The Bavarian Nordic vaccine was originally developed to fight against smallpox, but offers a cross-protection against mpox. In Switzerland, the Jynneos® vaccine has been licensed by Swissmedic since 2024. Groups at risk (e.g., men who have sex with men or transgender people with multiple sex partners) are eligible for vaccination since 2022 and this recommendation remains unchanged (see FOPH recommendations). In light of the epidemiological situation in Africa in 2024, the Swiss Expert Committee for Travel Medicine recommends vaccination against mpox for professionals who are / will be in contact with suspect mpox patients or animals in endemic/epidemic regions or who work in a laboratory with the virus (for updates, see news).

The risk to the general population and travelers (tourists) is considered extremely low if the above-mentioned general precautions are followed and vaccination is not recommended.

  • Seek medical attention immediately.
  • Mpox is not a sexual transmitted disease in the strict sense, physical contact with a person with symptoms of mpox (rash at any stage) is sufficient to transmit the disease. Condoms do not protect you from getting mpox!
  • Swiss Federal Office of Public Health (FOPH)                                                            
  • World Health Organisation: WHO FAQ
  • European Center of Disease Control and Prevention (ECDC)
  • US Center of Disease Control and Prevention (CDC)
Mondiale
 
 
 
  • Les infections sexuellement transmissibles (IST) sont un groupe d'infections virales, bactériennes et parasitaires. Si beaucoup sont traitables, certaines peuvent provoquer des complications, des maladies graves ou des infections chroniques.
  • Les IST sont en augmentation dans le monde entier.
  • Lisez la fiche d'information suivante pour en savoir plus.

EKRM_Factsheet_Layperson_FR_STI.pdf

EKRM_Factsheet_Layperson_FR_HIV-AIDS.pdf

  • Les IST sont un problème de santé publique mondial qui peut être maîtrisé par la prévention, le dépistage régulier et le traitement.
  • Il est important de connaître les risques et d'adopter des pratiques sexuelles sûres, y compris l'utilisation de préservatifs. Si vous souhaitez en savoir plus pour vous protéger de manière optimale pendant votre voyage, consultez un professionnel de la santé.
  • Si vous avez vécu une situation à risque, il est important de consulter un professionnel de la santé le plus rapidement possible afin de déterminer si une prophylaxie post-exposition au VIH (PEP) doit être mise en place pour éviter une contamination par le VIH.
  • Suite à une situation à risque, il est important de se faire tester pour les IST. Même en absence de symptômes.
Les voyageurs qui ont des rapports sexuels occasionnels sont exposés à un risque accru de contracter des infections sexuellement transmissibles (IST), y compris le VIH. Un séjour à l'étranger, qui permet également de rencontrer de nouvelles personnes, peut impliquer de se comporter différemment et de prendre plus de risques que si l'on restait chez soi. Il est important de se rappeler que des rapports sexuels non protégés et plusieurs nouveaux partenaires sexuels constituent un risque d'IST. Les MST peuvent dans certains cas provoquer de graves complications et peuvent en outre être transmises à d'autres partenaires si elles ne sont pas détectées et traitées à temps. Si vous n'êtes pas sûr(e) qu'il s'agisse d'une situation à risque, le 'Risk-Check' de Love Live peut vous aider.
Les IST sont des infections qui se transmettent par contact sexuel (vaginal, anal ou oral). Elles sont causées par plus de 30 bactéries, virus ou parasites différents présents dans ou sur votre corps. Il est également possible que plus d'une IST soit transmise en même temps. Les IST les plus importantes sont le VIH (fiche d'information sur le VIH-SIDA), l'hépatite B, le papillomavirus humain (HPV), l'herpès simplex (HSV), la syphilis, la chlamydia et la gonorrhée.
Les IST sont présentes dans le monde entier et peuvent toucher tout le monde, indépendamment de l'âge, du sexe ou de l'orientation sexuelle. Les IST sont plus fréquentes dans de nombreux pays où le système de santé est plus faible.
Les IST sont généralement transmises par des rapports sexuels vaginaux, oraux ou anaux non protégés. Mais elles peuvent également être transmises par d'autres contacts intimes, comme l'herpès et l'HPV, qui se transmettent par contact cutané/baiser. D'autres peuvent également être transmises par des moyens non sexuels, par exemple le sang. De nombreuses IST - dont la syphilis, l'hépatite B, le VIH, la chlamydia, la gonorrhée, l'herpès et l'HPV - peuvent également être transmises de la mère à l'enfant pendant la grossesse et à l'accouchement.
  • Brûlures ou démangeaisons dans la région génitale
  • Mictions douloureuses ou fréquentes, ou encore douleurs dans le bas-ventre
  • Ecoulement inhabituel du pénis ou du vagin
  • Plaies, rougeurs, vésicules dans la bouche/les lèvres ou la région génitale, ainsi que verrues dans la région intime
  • Parfois aussi de la fièvre (plutôt rare)

Important : une IST peut se manifester sans symptômes ou seulement avec des symptômes légers. Même si vous n'en êtes pas conscient, vous pouvez infecter d'autres personnes. C'est pourquoi il est important de se faire dépister.

Les IST peuvent être diagnostiquées lors d'un examen physique ou par l'examen de l'urine, d'une plaie, d'une vésicule ou d'un écouvillon prélevé dans le vagin, le pénis ou l'anus. Des analyses de sang peuvent aider au diagnostic. Même si vous n'avez pas de symptômes, vous devriez parler à votre médecin si vous avez eu des rapports sexuels non protégés à l'étranger. En effet, un dépistage et un traitement précoces sont importants pour prévenir la transmission de l'agent pathogène et les complications liées aux IST non traitées.
De nombreuses IST sont guérissables, mais d'autres, comme le VIH, ne le sont pas et impliquent la prise de médicaments à vie pour éviter les complications. Par exemple, les antibiotiques permettent de guérir les IST d'origine bactérienne. Un traitement précoce réduit en outre le risque de complications. En effet, si elles ne sont pas traitées, certaines IST peuvent éventuellement provoquer des problèmes de santé à long terme, comme l'infertilité, des complications lors de l’accouchement et certains types de cancer. Si une femme enceinte est atteinte d'une IST, cela peut causer des problèmes de santé au bébé. Les partenaires sexuels devraient également être traités en même temps afin d'éviter une nouvelle infection (transmission par ping-pong).
  • Respectez les règles du safer sex de Love Live. Il s'agit notamment d'utiliser des préservatifs lors de chaque rapport anal ou vaginal.
  • N'oubliez pas que les rapports oraux peuvent également transmettre des IST.
  • Faites-vous vacciner ! Il existe des vaccins pour se protéger contre le HPV, l'hépatite A et l'hépatite B.
  • Si vous avez été dans une situation à risque, il est important de consulter un professionnel de la santé le plus rapidement possible afin de discuter de la nécessité d'effectuer une prophylaxie post-exposition (PEP) au VIH pour éviter une infection. La PEP au VIH la plus efficace est celle réalisée dans les heures qui suivent.
  • Il existe également d'autres mesures de prévention pour des situations particulières (prophylaxie pré-exposition VIH-PrEP). Consultez un professionnel de la santé expérimenté à ce sujet avant votre départ.
  • N'oubliez pas que l'alcool ou les drogues peuvent conduire à un comportement à risque accru.
  • N'oubliez pas que vous pouvez infecter une autre personne/partenaire connu(e) lors de rapports sexuels non protégés, si vous êtes atteint(e) d'une IST non traitée.
  • Les personnes dont l'IST vient d'être diagnostiquée sont tenues d'informer leurs anciens partenaires sexuels afin qu'ils soient également traités.

Provoquées par des bactéries ou des parasites
Toutes ces maladies peuvent être soignées. Il est important de faire le test à temps et de traiter immédiatement afin d'éviter les complications et surtout d'autres transmissions.

  • Syphilis
    Elle est causée par la bactérie Treponema pallidum. Le premier signe est une plaie indolore sur les organes génitaux, la bouche, la peau ou le rectum, qui est très contagieuse et disparaît spontanément au bout de 3 à 6 semaines. Comme celle-ci est indolore, tous les patients ne perçoivent pas cette lésion. Souvent, cette infection ne guérit toutefois pas d'elle-même. Au cours de la deuxième phase, des éruptions cutanées, des maux de gorge et des douleurs musculaires peuvent apparaître. Si elle n'est pas traitée, la maladie peut rester cachée (latente) sans que des symptômes n'apparaissent. Environ un tiers des personnes infectées par la syphilis non traitée développent des complications au cours de l'évolution. Cette forme tardive est appelée syphilis tertiaire. À ce stade, la maladie peut toucher tous les organes : le plus souvent le cerveau, les nerfs et les yeux. L'infection peut être transmise au fœtus pendant la grossesse et à l'enfant à son accouchement.

  • Chlamydia trachomatis
    La chlamydia peut provoquer des écoulements inhabituels du pénis ou du vagin, une gêne lors de la miction et des douleurs abdominales. Souvent, aucun symptôme n'apparaît. Si elle n'est pas traitée, elle peut conduire à l'infertilité et la maladie peut être transmise aux partenaires sexuels. Les bactéries peuvent également être transmises au fœtus pendant la grossesse, ou à l'enfant pendant l'accouchement, et provoquer des infections oculaires ou des pneumonies.

  • Gonorrhée
    Également connue sous le nom de blennorragie. Les symptômes les plus courants sont des écoulements vaginaux ou péniens et une miction douloureuse. Les symptômes ne se manifestent pas forcément à chaque fois. Chez les hommes comme chez les femmes, la gonorrhée peut également infecter la bouche, la gorge, les yeux et l'anus et s'étendre au sang et aux articulations, où elle peut se transformer en une maladie grave. Si elle n'est pas traitée, elle peut provoquer une inflammation pelvienne, qui peut entraîner des douleurs pelviennes chroniques et la stérilité. La maladie peut être transmise au fœtus pendant la grossesse.

  • Autres IST bactériennes : les mycoplasmes et les uréaplasmes. Ces dernières peuvent également être traitées.

  • La trichomonase
    Elle est causée par un parasite qui peut être traité avec une seule dose d'antibiotique. Chez les femmes, la trichomonase peut provoquer des écoulements vaginaux malodorants, des démangeaisons dans la région génitale et une miction douloureuse. Chez les hommes, les symptômes sont généralement moins nombreux, voire inexistants. Parmi les complications, on peut noter le risque d'accouchement prématuré chez les femmes enceintes. Pour éviter une réinfection, les deux partenaires sexuels doivent être traités.

Provoquées par des virus

  • VIH/SIDA, voir la fiche d'information sur le VIH-SIDA

  • Virus de l'herpès simplex
    Dans la région des lèvres et de la bouche, également connu sous le nom de bouton de fièvre, ne se guérit pas. L'herpès peut toutefois être contrôlé par des médicaments en cas de symptômes aigus. Les symptômes sont généralement des ampoules cutanées douloureuses et aqueuses et se trouvent sur ou autour des organes génitaux, de l'anus ou de la bouche. Après l'infection initiale, le virus reste en sommeil dans l'organisme et les symptômes peuvent réapparaître pendant des années. Les femmes enceintes peuvent transmettre l'infection à leurs nouveau-nés, ce qui peut conduire à une infection sévère.

  • Hépatite virale (voir aussi Hépatite Suisse)
    • Hépatite A (HAV)
      L'hépatite A est une infection du foie évitable par la vaccination et causée par le virus de l'hépatite A. Le virus de l'hépatite A peut se transmettre par voie sexuelle. Le virus de l'hépatite A se trouve dans les selles et le sang des personnes infectées. L'hépatite A peut être transmise par de l'eau et des aliments contaminés ainsi que par des activités sexuelles ano-orales. Les patients souffrent d'une maladie aiguë et souvent grave, mais se rétablissent la plupart du temps spontanément.
    • Hépatite B (VHB)
      Le virus de l'hépatite B se transmet par les contacts sexuels ainsi que par le contact avec d'autres liquides corporels, comme le sang. La transmission peut également se produire par exemple lors d'interventions médicales ou de tatouage dans des conditions d'hygiène non optimales. L'hépatite B peut provoquer une infection grave du foie, qui peut conduire à une maladie aiguë ou à une infection à vie, avec comme conséquence possible une cicatrisation permanente du foie (cirrhose) et un cancer. Les femmes enceintes atteintes d'hépatite B peuvent transmettre le virus à leur enfant pendant l'accouchement. Il est possible que vous ne présentiez aucun symptôme au début de l'infection. Le virus peut être transmis à des partenaires sexuels. L'hépatite B peut être traitée avec des médicaments antiviraux, mais elle est rarement guérissable. La vaccination peut prévenir une infection par l'hépatite B.
    • Hépatite C (HCV)
      Dans la plupart des cas, l'hépatite C se transmet par contact avec du sang infecté. Plus rarement, elle peut être transmise par contact sexuel anal ou de la mère à l'enfant pendant la grossesse et l'accouchement. La plupart des personnes infectées ne sont pas conscientes de leur infection car elles ne développent aucun symptôme, mais cette infection chronique peut entraîner une cirrhose du foie et un cancer. L'hépatite C peut être traitée, il n'existe pas de vaccin.

  • Virus du papillome humain (HPV)
    L'HPV est l'IST la plus fréquente. Il existe un grand nombre de types d'HPV différents, et certains d'entre eux peuvent provoquer des verrues génitales, anales et buccales, ainsi que des cancers du col de l'utérus, du pénis ou de la gorge. Les symptômes peuvent apparaître des années après avoir eu des rapports sexuels avec une personne infectée. Deux vaccins disponibles protègent contre les principaux types d'HPV responsables du cancer du col de l'utérus, du pénis ou de l'anus.

  • Zika, voir la fiche d'information Zika
    Dans la plupart des cas, il est principalement transmis par les moustiques. Mais il peut également être transmis par voie sexuelle. Une infection par le Zika pendant la grossesse peut provoquer des malformations congénitales chez le fœtus en développement, comme la microcéphalie (petite tête avec des déficits neurologiques). La seule façon d'éviter la transmission sexuelle du virus pendant la grossesse est de prendre des précautions (préservatifs) ou d'éviter les rapports sexuels (au moins 2 mois après le retour) avec quelqu'un qui a récemment voyagé dans une zone à risque, même si le voyageur ne présente pas de symptômes.
  • Love Life: www.lovelife.ch
  • Santé sexuelle Suisse: www.sante-sexuelle.ch
  • Hépatite Suisse: https://fr.hepatitis-schweiz.ch/tout-sur-hepatite/hepatite-cest-quoi
  • World Health Organization (WHO). Factsheets. Sexually transmitted infections (STIs). 14 June 2019: www.who.int/news-room/fact-sheets/detail/sexually-transmitted-infections-(stis)
  • Centers for Disease Control and Prevention (CDC). Factsheet: Information for Teens and Young Adults: Staying Healthy and Preventing STDs (2017): www.cdc.gov/std/life-stages-populations/stdfact-teens.htm
  • Centers for Disease Control and Prevention (CDC). How You Can Prevent Sexually Transmitted Diseases: www.cdc.gov/std/prevention/
  • Centers for Disease Control and Prevention (CDC) Sexual Transmission and Prevention. Zika Virus: www.cdc.gov/zika/prevention/protect-yourself-during-sex.html
  • Centers for Disease Control and Prevention (CDC) Zika and Pregnancy; Pregnant Women and Zika (March 2021): www.cdc.gov/pregnancy/zika/protect-yourself.html
  
 
 

Il existe un risque de maladies transmises par des arthropodes autres que le paludisme, la dengue, le chikungunya ou le zika dans les régions subtropicales et dans certaines régions d'Europe du Sud. Il s'agit notamment des maladies suivantes [et de leurs vecteurs] :

  • en Europe
    o Borréliose, FSME (= encéphalite à tiques), rickettsiose [tiques]
    o Leishmaniose [phlébotomes]
    o Fièvre du Nil occidental [moustiques]
  • en Afrique
    o Rickettsioses, en particulier la fièvre africaine à tique [tiques]
    o Leishmaniose [phlébotomes]
    o Trypanosomiase africaine = maladie du sommeil [mouches tsé-tsé]
    o Fièvre du Nil occidental [moustiques]
  • en Asie
    o Typhus des broussailles [mites]
    o Rickettsiose [puces ou tiques]
    o Leishmaniose [phlébotomes]
    o Fièvre du Nil occidental [moustiques]
    o Fièvre hémorragique de Crimée-Congo [tiques]
  • en Amérique du Nord et en Amérique latine 
    o Rickettsioses, en particulier la fièvre boutonneuse des Montagnes Rocheuses [tiques]
    o Leishmaniose et maladie de Carrion [phlébotomes]
    o Trypanosomiase américaine = maladie de Chagas [punaises triatomes]
    o La fièvre du Nil occidental [moustiques]

EKRM_Factsheet_Layperson_FR_Mosquito-and-tick-bite-protection.pdf

  
 
 
 
  • Il existe d'autres risques de santé importants liés aux voyages, tels que la diarrhée, les problèmes liés au trafic, la plongée, la pollution atmosphérique, etc.
  • Pour plus d'informations, voir les conseils de santé sous "Voyager sain".

EKRM_Factsheet_Layperson_FR_Rabies.pdf

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